Arcs-boutants et pinacles mais, singularité de cette façade nord-est : la tour est trouée de meurtrières qui éclairent l’escalier qui conduit au triforium (galerie intérieure périphérique située à hauteur du grand orgue).
Raison d’être des arcs-boutants et contreforts qui assure l’équilibre des voûtes sur croisée d’ogives montées sur les piliers.
Meuble qui tapisse la sacristie reconstruite en 1859
Cet escalier à vis, en pierre, monte dans le clocher vers la plate forme où se trouvent les grandes orgues. Les fondations creusées en 1835, profondes de 6 m. afin de traverser les couches de glaise plus ou moins mouvantes. Elles mirent à jour les restes d’un ancien cimetière.
Dans son plus grand axe la cathédrale mesure 78,40 m. et 32,10 m. au niveau du transept dans sa plus grande largeur, la hauteur sous voûte est de 16 m. Les plus gros piliers ont 2,50 m. à la base.
Voûtes en arc brisé de style ogival peintes de ciels bleus agrémentés d’étoiles. Cette décoration datée de 1875 a été réalisée par le peintre Marinelli. La balustrade ajourée du triforium fait place à un muret plein à la sortie des transepts.Au fond l’orgue d’Aristide Cavaillé-Coll, inauguré en 1860, n’a été transporté qu’en 1875 sur la tribune où il se trouve actuellement.
Sous les rosaces du transept « Capitulum ecclessia Bellicensis » armes du chapitre cathédral représentant une main bénissant rappelant ainsi la possession de la relique des os d’une main de Saint Jean-Baptiste. Ce motif se retrouve sur les méreaux (jetons de présence des chanoines).
Un escalier de bois pour accéder à la plateforme du sommet du clocher.
Clocheton de la tour sommitale composés de statues en pierre au nombre de 24 représentants entre autres des évêques du diocèse de Belley dont Audax premier évêque à l’existence contestée, Bernard de Portes et Ponce du Balmay issus des chartreux, Jean-Pierre Camus écrivain-évêque, Cortois de Quincey le bâtisseur de l’actuel palais épiscopal etc.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire